• Sophie Galvagnon, capitaine des glaces et des pôles
    Jan 26 2025

    À l’occasion du Festival du Film d’Aventure de Paris, rencontre avec une armatrice et navigatrice franco-suédoise, grande amoureuse des pôles.

    Quand elle parle de la mer gelée, Sophie Galvagnon nous embarque avec elle, à bord, littéralement. Très tôt, cette Franco-Suédoise a été attirée par les zones froides du monde et après des études dans la marine marchande en France, elle deviendra à seulement 27 ans, la première femme aux commandes d’un navire d’expédition polaire. Aujourd’hui, à 37 ans, elle continue de se frotter aux conditions extrêmes de la navigation dans les glaces ; elle participe aussi à des projets innovants de navire d’exploration touristiques ou scientifiques dans l’Arctique ou l’Antarctique, nourrissant par-là cet imaginaire polaire tenace qui a envoyé depuis des siècles, des hommes et des femmes, vers ces contrées jadis inconnues et que l’on sait aujourd’hui de plus en plus fragiles et cruciales à la survie de notre planète.

    Ce week-end, une fois n’est pas coutume, ce n’est pas à la passerelle d’un bateau que l’on retrouve Sophie Galvagnon, mais dans les salles obscures, dans le cadre du Festival du film d’Aventure de Paris, organisé par le voyagiste français Terres d’Aventures, où Sophie Galvagnon fait office de membre du jury et de conférencière. Car avec elle, la planète blanche n’a jamais été aussi proche...

    En savoir plus :

    - Sur le festival du Film d’Aventure de Paris qui se tient au 104 à Paris, du 24 au 26 janvier 2025

    - Sur Selar et le projet de navire polaire décarboné que porte Sophie Galvagnon

    - Sur le projet Polar Pod, une plateforme océanographique en mer australe, imaginée par l’explorateur français Jean Louis-Étienne et sur laquelle a travaillé un temps Sophie Galvagnon

    - Sur l’association Empreinte Polaire, que Sophie a contribué à créer pour mieux faire connaitre et défendre les pôles.

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  • Au pays des Przewalski
    Jan 19 2025

    En Lozère, sur de hauts plateaux arides aux allures de steppes mongoles vivent en liberté, depuis 30 ans, des chevaux de Przewalski. Voyage dans des terres françaises reculées à la découverte de chevaux presque sauvages…

    Le Causse Méjean est un pays montagnard, de pierres et de landes rases qu’on dit grandiose, austère, balayé par les vents et les solitudes. C’est là, depuis 30 ans, que l’association française Takh, soit « esprit » ou « cheval sauvage » en mongol, a implanté un troupeau de petits chevaux trapus, de couleur brun clair striés d’une raie de mulet noire le long de la colonne vertébrale. Ces équidés, uniques en leur genre, ressemblent étonnement aux chevaux préhistoriques que l’on retrouve sur les peintures rupestres et portent le nom d’un explorateur russe « Przewalski », qui un jour, au 19e siècle, a croisé leur route en Asie Centrale et les a fait connaître en Europe.

    Depuis les années 1960, la race, originaire d’Asie centrale, s’est éteinte à l’état sauvage mais elle a survécu dans des zoos avant d’être introduite en Lozère puis réintroduite en Mongolie, avec le concours des autorités mongoles. Et depuis 2020, l’association Takh développe un projet de centre scientifique et écotouristique, à destination du grand public. Sur le Causse Méjean, l’observation à bonne distance de ces chevaux qui s’épanouissent ici sans aucune intervention humaine, offre un voyage dans l’espace, jusqu’en Asie Centrale mais aussi dans le temps, à une époque où des millions de chevaux vivaient encore à l’état sauvage. Elle permet aussi de comprendre leurs enjeux de survie, leurs relations sociales, leur rôle dans l’écosystème et comment ces chevaux façonnent le territoire, tout en interrogeant le bien être-animal. Ce qui à l’heure de l’Anthropocène, cette nouvelle ère où l’humain a bouleversé le monde en se pensant au-dessus de tout, permet de décentrer le regard et qui sait, de remettre l’homme à sa place… Au pays des Przewalski, nous regardons les chevaux et eux, nous apprennent à regarder le monde autrement.

    En savoir plus :

    - Sur l’association Takh et son centre scientifique et écotouristique des chevaux de Przewalski situé au Villaret.

    Un voyage sonore de Sibylle d’Orgeval, initialement diffusé en janvier 2024.

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  • Le monde des rivières avec Bill François
    Jan 12 2025

    Voyage en eau douce avec le naturaliste et biophysicien français qui, très tôt, a appris à lire l’eau et entend bien, depuis, partager la voix des rivières.

    Dans l’eau des rivières, se trame un spectacle insoupçonné, invisible, parmi des mulettes centenaires, des grenouilles kleptomanes, des truites voyageuses ou de féroces et patientes libellules. En regardant la surface de l’eau, rares sont ceux à deviner et interpréter cet incroyable ballet du vivant qui se joue en dessous. Bill François, lui, le sait. Depuis des années, il observe patiemment ce monde aquatique et sillonne pour cela la planète, afin de nourrir ses travaux de recherche en tant que biophysicien, mais aussi ses livres naturalistes et réjouissants.

    Après avoir mené de brillantes études, notamment sur la mécanique des fluides appliquée à la nage des bancs de poissons, ce pêcheur passionné a d’abord publié L’éloquence de la sardine paru en 2019 puis Le génie des mers. Mais cette fois, dans son dernier livre, il nous embarque en eau douce, à la découverte de rivières, de fleuves que l’on ne regarde plus et qui pourtant, telles des artères, irriguent nos vies terrestres, nourrissent nos sols et façonnent nos paysages intérieurs comme extérieurs.

    Dans La truite et le perroquet paru en France aux Éditions Albin Michel, à travers son regard et sa plume sans cesse émerveillés, Bill François raconte d’incroyables histoires de poissons migrateurs, de loyers jadis payés en aiguilles au Moyen Âge ou de peuples d’Amazonie entièrement tournés vers l’eau et détenteurs d’un fascinant savoir consistant à modifier les couleurs des plumes d’un oiseau, à partir de venins de grenouilles, de graisses de poissons-chats ou d’œufs de tortue. Mais au-delà de cette quête du tapirage, du nom de cette mystérieuse technique qui fascine Bill François et l’entraine jusqu’au Brésil, l’écrivain naturaliste français nous invite à une lecture, une écoute des cours d’eau et de ceux qui les peuplent. Une invitation au voyage, en somme…

    À lire :

    • La truite et le perroquet. Confidences du peuple des rivières, Bill François. Éditions Albin Michel, 2024.
    • Le génie des mers, Bill François. Éditions Flammarion, 2023.
    • L’éloquence de la sardine, Bill François. Éditions Fayard, 2019.
    • Histoire d’un ruisseau, Elisée Reclus. Édition initiale 1869, réédition dans sa version intégrale chez Actes Sud en 2005.
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  • Montréal: à l’écoute des voix autochtones d'aujourd'hui
    Jan 5 2025

    Engagé dans un processus revendiqué de décolonisation de ses collections, le musée McCord Stewart, musée d’histoire sociale de Montréal, propose désormais l’exposition permanente Voix autochtones d’aujourd’hui, une exposition passionnante et émouvante qui vise à redonner toute sa place aux cultures autochtones du Canada et du Québec en particulier.

    (Rediffusion)

    C’est une exposition qui invite à l’écoute… Écouter des voix autochtones longtemps silenciées, ignorées, dépréciées, « balayées avec arrogance de l’histoire officielle » nous dit l’exposition. Écouter ce qu’elles ont à nous dire : d’elles-mêmes, de leurs savoirs, de leurs traumas, de leur présent comme de leur passé. Surtout que le plus souvent, les allochtones -non autochtones- connaissent mal ces cultures ou les appréhendent, sans forcément en avoir conscience, à travers des biais, des représentations figées, stéréotypées, héritières des temps coloniaux.

    Conçu comme une rencontre entre autochtones et allochtones, ce parcours muséal a été longuement pensé par la commissaire Huronne Wendate Elisabeth Kane qui, pendant 8 ans, a mené un travail inédit de concertation auprès de plus de 800 individus issus des 11 nations autochtones que compte le Québec. L’exposition présente alors une centaine d’objets tirés de la collection du musée et près de 80 témoignages textuels, audio ou vidéo de membres de ces Nations. Guidé par ces voix autochtones, le visiteur part alors à la découverte des savoirs traditionnels des Premières Nations, des traumas de la colonisation jusqu’à la résilience autochtone. Une exposition tel un chemin de vérité mais aussi de réconciliation.

    Un reportage à Montréal de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary.

    Aller plus loin, aller à Montréal :

    - Sur l’exposition « Voix autochtones d’aujourd’hui. Savoir, Trauma, Résilience » du Musée McCord Stewart

    - Pour découvrir le Montréal Autochtone, un article plein d’infos de Tourisme Montréal

    - Le Festival Présence Autochtone se tient chaque année la première quinzaine d’août à Montréal

    - Sur le Centre d’art autochtone autogéré de Montréal Daphné

    - Pour partir à la rencontre des 11 nations autochtones du Québec, l’indispensable site « Tourisme Autochtone Québec »

    - En ligne, le projet « Rencontres avec les nations autochtones » du Musée McCord Stewart offre une multitude de contenus numériques

    - Écoutez notre rencontre avec Joséphine Bacon, poétesse innue et grande voix autochtone du Québec.

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  • En route avec Thelma et Louise
    Dec 29 2024

    Road-trip à travers les grands espaces du Sud-Ouest américain, à bord d’une antique Ford Thunderbird, en suivant la route empruntée par les deux héroïnes de ce film culte américain.

    Quand on part en virée entre amies aux États-Unis, on dit qu’on est « ready to Thelma and Louise », ce qui en dit long sur la postérité des deux héroïnes du film de Ridley Scott sorti en 1991. Ce road-movie, qui débute en virée joyeuse pour finir en cavale tragique et puissante, en aura pourtant envoyé plus d’une sur la route. C’est le cas de Marine Sanclemente et Catherine Faye, deux autrices françaises nomades qui ont décidé un jour de partir sur les traces de Thelma et Louise sur un coup de tête et de sang, puis d’accélérateur…

    De cette échappée américaine, à l’ombre tutélaire de Thelma et de Louise, en épousant le trajet fictionnel de ces deux personnages, de l’Arkansas à l’Arizona, elles en ont tiré un récit écrit à 4 mains : « À la vie, à la mort » publié en France, aux Éditions Paulsen. En chemin, Catherine et Marine croisent et convoquent d’autres femmes bien réelles cette fois : Kadena la pompiste, Jan la bimbo armée jusqu’aux dents, Sheida l’Iranienne de Tulsa, Gloria, Mabel, Daisy ou encore Sunny, rescapée de l’emprise d’un gourou charismatique et violeur.

    Échapper, réchapper au patriarcat et à l’emprise machiste pour mieux exister pleinement, librement sur la route, c’est la trame, le motif du film « Thelma et Louise » que viennent aussi interroger Marine et Catherine dans leur livre, dans une ère certes post #MeToo mais dans une réalité américaine à la sauce red-neck qui n’a décidément pas renoncé à Trump. Leur récit, émaillé de réflexions sur le consentement et les contraintes faites aux femmes et à leur corps, fait aussi office de serment d’amitié entre les deux voyageuses, d’ode au voyage et à ses vertus: la curiosité et l’émancipation en tête, quoiqu’il arrive…sur la route.

    Une émission initialement diffusée en février 2024

    À lire :

    - À la vie, à la mort, de Catherine Faye et Marine Sanclemente. Éditions Paulsen

    - L’année des deux dames, de Catherine Faye et Marine Sanclemente. Éditions Paulsen.

    À écouter :

    - Notre échange avec les deux autrices autour d’Odette du Puigeaudeau et Marion Sénones, aventurières des sables.

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  • Les dessous du naturisme
    Dec 22 2024

    Cette semaine, on tombe le haut et le bas pour se mettre tout nu et à nu, afin d’interroger une pratique culturelle, touristique aussi, surtout occidentale : le naturisme.

    La France est la première destination naturiste d’Europe, voire du monde, avec 4,7 millions d’adeptes, dont 2,6 millions d’étrangers qui, chaque année, souvent l’été, viennent dans l’hexagone pour vivre nu, ensemble, dans la nature, sans contrainte ni jugement. En prônant un certain retour à la nature dans la tolérance, la sobriété et le plus simple appareil, le naturisme a façonné un mode de vie singulier et alternatif, mais aussi des lieux (campings, centres, communautés…) en Europe, particulièrement sur les littoraux français.

    Récemment, à Marseille, une grande exposition Paradis naturistes s’est tenue au Mucem, le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée. Déjouant les stéréotypes tenaces adossés au mouvement naturiste, pour en comprendre l’histoire, les valeurs et les vertus. Ne laissant aucune question de côté et sans réponse : pourquoi se mettre ainsi tout.e nu.e ? Quelles différences entre naturisme et nudisme ? Quels liens entre nudité et sexualité ? Comment et pourquoi la France est-elle devenue un « paradis naturiste » ? Est-ce une pratique de blancs ? Et si oui, pourquoi ?

    Certes, il y a le tabou de la nudité intégrale, visible et collective qui peut bousculer certain.e.s ; mais, une fois cette seule pensée ou vision dépassée, les naturismes – car ils sont pluriels – ont certainement beaucoup à nous apprendre sur notre rapport au corps et au monde. Surtout qu’à l’heure où les questions de respect de l’intégrité corporelle, de bouleversements climatiques, de lutte contre les discriminations ou les violences sexuelles et sexistes sont plus qu’à l’ordre du jour à travers le monde, il est certainement temps d’arrêter de regarder goguenards ces gens à poil et de tous poils. Arrêter de les regarder donc, pour mieux les écouter...

    Avec le philosophe français Bernard Andrieu, auteur de Nudités. Philosophie des naturismes et co-commissaire de l'exposition Paradis naturistes au Mucem.

    En savoir plus

    - Sur l’exposition Paradis naturistes qui vient de s’achever au Mucem, Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, situé à Marseille.

    - Sur Nudités. Philosophie des naturismes de Bernard Andrieu aux Éditions Presses universitaires de Rennes. Collection Epures.

    - Sur Monta Stories. Portrait d’un lieu pionnier du naturisme de Chloé Vasselin. Avec Magda Audredie à l’illustration. Un ouvrage autoédité sur l’histoire et les pionniers du Centre Héliomarin de Montalivet, dans le Sud-Ouest de la France.

    - Sur la Fédération française de naturisme : une mine d’infos pour savoir notamment où pratiquer le naturisme en toute liberté. Voir aussi le guide de voyage de Julien Claudé-Pénégry paru chez Hachette Voir la France tout nu.

    - Sur Vivre nu, un essai de la philosophe française Margaux Cassan. Éditions Grasset, 2023.

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  • La pétanque, une passion béninoise
    Dec 15 2024

    Le Bénin a accueilli, en septembre 2023, la 50è édition du Championnat du monde de pétanque. Mais déjà, bien avant cet évènement qui a réuni 37 nations à Cotonou, le pays avait déclaré sa flamme au jeu de boules provençal.

    Dans les rues de Porto Novo, Cotonou ou Abomey, il n’est pas rare de croiser sur des boulodromes improvisés des joueurs et des joueuses passionnés, en plein palabre pour savoir qui a emporté le point. Car au Bénin, la pétanque est devenue une affaire sérieuse, un sport national qui a vu émerger des titres et des champions qui ont su se rapprocher tout près du bouchon et fait de leur pays un vice-champion. En 2016 d’abord, après avoir battu la France en triplette masculine, la discipline reine ; puis en septembre 2023, en doublette pendant la compétition qui s’est tenue justement à Cotonou, à ciel ouvert, à l’ombre de sa grande Amazone.

    Surtout- et c’est ce que la rue nous apprend-, ce jeu accessible, ouvert à tous, est devenu un loisir populaire et fédérateur dans le pays, comme ailleurs sur le continent, que ce soit à Madagascar, au Burkina Faso ou en Côte d’Ivoire. Arrivée sur le continent dans les valises des Marseillais pendant la colonisation, la pétanque n’est pas qu’une passion béninoise, mais depuis les derniers championnats de Cotonou, on voit bien qu’elle est là-bas un motif de ferveur et d’élan national.

    Voyage entre le club mythique PCZAM de Cotonou et les terrains de boule de rue, à la rencontre de passionné.e.s d’hier et d’aujourd’hui, qui tirent et qui pointent !

    Un reportage de Raphaëlle Constant initialement diffusé en janvier 2024.

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  • Notre-Dame de Paris, «la dame de tout le monde»
    Dec 8 2024

    À l’occasion de sa réouverture, voyage intemporel en audio 3D au cœur de la plus célèbre des cathédrales de France. À partir d’enregistrements réalisés en 2013, dans le quotidien de Notre-Dame de Paris, juste avant que celui ne s’invente ou se réinvente…

    Dimanche 8 décembre 2024, des dizaines de milliers de personnes sont attendues à Paris, sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame, pour une réouverture au public, en grande pompe, après cinq ans de travaux titanesques, suite au tragique incendie qui, en 2019, a ravagé l’édifice et médusé le monde.

    Certes, le monument a désormais fait peau neuve, dévoilant à l’intérieur une blondeur insoupçonnée de sa pierre, un nouveau mobilier liturgique ou d’éclatantes peintures murales ; mais Notre-Dame de Paris retrouve surtout en ce week-end de célébration, sa vocation première : celle d’être à la fois un fascinant livre de pierre et d’histoire de France, mais aussi un lieu de culte catholique vivant, particulièrement visité.

    Avant l’incendie, la cathédrale située sur l’île de la Cité, au cœur du Paris historique, était le monument le plus visité du pays, voire d’Europe, avec 12 millions de visiteurs par an. Aujourd’hui, après sa réouverture officielle, on attend plus de 15 millions de visiteurs.

    Alors, au moment même où le monde va découvrir la nouvelle Notre-Dame, on vous offre une photographie sonore en audio 3D de son quotidien, tel que nous l’avions enregistré en 2013 ; du parvis bondé de touristes à la sacristie, en passant par sa nef ou ses deux tours au bestiaire fantastique, pour un voyage à travers le temps : celui des cathédrales.

    Une production à écouter au casque avec le Labo RFI.

    En savoir plus :

    - Sur le programme de réouverture de la cathédrale

    - Sur les réservations de visite de la nouvelle Notre-Dame

    - Sur les visites de groupe aux abords de la cathédrale proposées par le groupe CASA Notre Dame. Elles ont lieu tout au long du chantier et doivent reprendre prochainement

    - Sur le chantier de rénovation, allez sur Rebâtir Notre-Dame de Paris.

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