Épisode spécial – Hommage à Brian Wilson
Une émission présentée par Philippe Dalgues

Avec la disparition de Brian Wilson, c’est une page lumineuse de la pop américaine qui se tourne. Compositeur de génie, architecte sonore visionnaire, il a offert au monde des chefs-d'œuvre comme God Only Knows ou Good Vibrations. Pourtant, ce n’est pas de ces compositions signées de sa main dont nous allons parler aujourd’hui.

Dans cet épisode, nous revenons sur un titre à part : "Barbara Ann". Un morceau qu’il n’a pas écrit, mais que les Beach Boys ont fait leur, en y insufflant cette énergie insouciante, ce parfum salé de liberté, ces California vibes qui ont façonné à jamais l’image du groupe.

De sa naissance sur la côte Est à sa renaissance solaire sur les plages de Californie, Barbara Ann raconte une autre facette de l’histoire des Beach Boys : celle d’un groupe capable de s’approprier un simple morceau pour en faire un hymne à la joie de vivre.

Un voyage musical, de Brooklyn à Malibu, pour célébrer la légèreté, les harmonies, et ce génie collectif qui faisait battre le cœur des Beach Boys.

Dans ce nouvel épisode de Backline, les coulisses de la musique, cap sur l’un des spectacles les plus extravagants et populaires de la planète : l’Eurovision. À l’approche de l’édition 2025, qui se tiendra cette année à Bâle, l’équipe du podcast vous emmène en voyage à travers des titres victorieux et inoubliables qui ont façonné la légende du concours.

De la pop acidulée aux envolées lyriques, des looks extravagants aux revendications identitaires, l’Eurovision est bien plus qu’un concours de chant : c’est un miroir musical et culturel de son époque.

L’épisode débute en 1965 avec France Gall et sa « Poupée de cire, poupée de son », chanson culte signée Gainsbourg, qui marquera un tournant dans la vie de la chanteuse… et de Claude François.

Direction ensuite la Suède avec ABBA en 1974 et leur tube « Waterloo » qui les propulse au rang de superstars internationales.

L'Angleterre entre dans la danse en 1981 avec Bucks Fizz et leurs fameuses jupes arrachées en direct, tandis que Céline Dion commence à écrire sa légende en 1988, en chantant pour la Suisse.

On fait un détour par l’univers rock de Lordi en 2006, avant de vibrer avec Ruslana, Alexander Rybak, ou encore Conchita Wurst, figure forte de la scène queer européenne.

Måneskin ramène le rock sur le devant de la scène en 2021, et Loreen entre dans l’histoire avec une seconde victoire en 2023.

Et la France ? Retour sur Marie Myriam et « L’oiseau et l’enfant », dernier sacre tricolore en 1977…

Cette année nous fondions tous nos espoirs sur Louane avec la chanson maman, Une artiste populaire, sensible, à la voix immédiatement reconnaissable. mais le couperet est tombé la chanteuse n’ a obtenu que la 7ème place ma malgré de bons espoirs après le vote des jurys professionnels l

L’Autriche a remporté le concours avec JJ (Johannes Pietsch) et sa chanson Wasted Love, suivie d’Israël et de l’Estonie sur le podium.

Entre anecdotes, extraits musicaux et secrets de coulisses, Philippe Dalgues vous propose une plongée sonore dans un concours unique, qui ne cesse de se réinventer.

À écouter d’urgence pour patienter jusqu’au prochain « France, twelve points! »

Dans ce nouvel épisode de Backline, Philippe Dalgues nous invite à découvrir la scène musicale suédoise, avec un focus particulier sur l’influence du rock californien. Bien que la Suède soit connue pour son climat froid, les musiciens suédois ont su adopter et réinterpréter le son chaleureux et ensoleillé du rock californien, notamment celui des années 70 et 80. Le programme débute avec le groupe Streetlight, originaire de Jonkoping, qui rend hommage aux grands noms du rock mélodique comme Journey et Toto, avec un nouveau morceau intitulé Closer et un album à venir, Night Vision, prévu pour mars 2025.

L’artiste Andreas Aleman , avec son album This Is Life, puise son inspiration dans le folk et le rock californien, notamment à travers des harmonies vocales semblables à celles de Michael McDonald. Le groupe Champlin Williams Friestedt, composé de musiciens suédois et américains, est également à l’honneur, avec des arrangements vocaux et instrumentaux inspirés de l’âge d’or du rock américain, en particulier de Toto.

Le groupe State Cows, qualifié de "yacht rock" suédois, poursuit la présentation avec son morceau I Can’t Figure Out This Love, issu de leur dernier album. Ole Borrud, un multi-instrumentiste norvégien, suit avec son titre She’s Like No Other, un mélange des influences des années 70 et d'une touche moderne. Le programme se termine avec Aspen Creek, un groupe suédois dirigé par Lars Sasfund, dont le dernier album Tomorrow Take You Home réunit des collaborations avec des artistes comme Michael Ruff et Ole Borrud.

À travers cette exploration, Backline nous montre que la Suède est véritablement l'autre pays du son West Coast, avec une scène musicale vibrante, influencée par les légendes du rock californien.