• Dans Mayotte dévastée, la fracture face aux sans-papiers
    Jan 30 2025

    Mayotte, dans l’archipel des Comores. Entre Madagascar et cote africaine. Un département français, 320 000 habitants. officiellement. Mais combien d’exclus, de sans-papiers ? Leur présence est encore moins un secret, depuis le cyclone Chido en janvier. Les arbres déracinés laissent apparaître l’étendue des bidonvilles.
    L’effondrement des infrastructures révèle les dysfonctionnements systémiques de l’île.

    Et les crispations croissantes sur l’immigration sont ravivées alors que le gouvernement à Paris ne cesse de faire une priorité de la lutte contre les clandestins.

    «Dans Mayotte dévastée : la fracture face aux sans-papiers», un Grand reportage de Justine Rodier.

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  • Sur la piste des derniers jaguars d’Argentine
    Jan 29 2025
    Alors que la COP 16 sur la diversité biologique s’ouvre ce lundi (21 octobre 2024) à Cali en Colombie, RFI vous emmène sur la trace du jaguar. Le plus grand félin d’Amérique a perdu 50% du territoire qu’il occupait autrefois, à cause notamment de la déforestation et de la chasse. (Rediffusion) Ce recul illustre le déclin de la biodiversité en Amérique latine, où la taille moyenne des populations d’animaux sauvages a diminué de 95% en 50 ans, selon le Fonds mondial pour la nature, plus que n’importe quelle autre région du monde.Situé au sommet de la chaîne alimentaire, le jaguar joue un rôle essentiel dans la régulation des écosystèmes. En Argentine, l’espèce a été déclarée monument naturel en 2001, mais est aujourd’hui au bord de l’extinction, avec moins de 250 individus. De notre envoyé spécial en Argentine, Il faut s’armer de machette et de patience pour progresser à travers les arbustes, les ronces et les épines du Gran Chaco.« Ce n’est pas un paysage accueillant », concède Lucero Corrales. À 28 ans, cette garde forestière est membre du Proyecto Yaguareté, un projet du Ceiba et du Conicet, l’Institut de recherche scientifique national argentin.Nous sommes dans le nord de l’Argentine, la frontière avec le Paraguay est à une centaine de kilomètres. La province de Formosa où nous nous trouvons est au cœur du Gran Chaco. Cette immense région à cheval sur quatre pays abrite la deuxième plus grande forêt d’Amérique latine. Chaque mois, Lucero Corrales s’aventure à travers la végétation dense et sèche de cette forêt baptisée l’Impénétrable.L’inhospitalité de cet écosystème en fait un sanctuaire pour le jaguar, qui y trouve l’un de ses derniers refuges. En Argentine, le plus grand félin d’Amérique du Sud a perdu 95% de son territoire qui s’étendait autrefois jusqu’à la Patagonie.Mis à part l’homme, le jaguar n’a pas de prédateur. Il culmine au sommet de la chaîne alimentaire, et joue à ce titre un rôle essentiel de régulateur dans l’écosystème du Gran Chaco, où cohabitent plus de 700 espèces d’oiseaux, de mammifères, et de reptiles au milieu d’une flore composée de plus de 3 400 espèces de plantes. Une biodiversité foisonnante, actuellement menacée par la déforestation silencieuse à l’œuvre dans le Chaco qui a perdu plus de 8 millions d’hectares, au cours des 20 dernières années.Lorsque l’on traverse la forêt, le « Monte » comme on l’appelle ici, la vue encombrée par la végétation se dégage parfois subitement. On débouche alors sur un large corridor débroussaillé au bulldozer qui coupe la forêt en deux.La déforestation réduit et fragmente le territoire du jaguar et de ses proies. Selon les estimations du proyecto Yaguareté, il reste à peine une vingtaine d’individus dans la forêt chaqueña. Le travail de Lucero consiste en partie à essayer de les recenser et de cartographier leur territoire.Pour remonter la trace du jaguar, Lucero Corrales s’appuie sur ceux qui vivent et traversent la forêt au quotidien. Professeurs ruraux, policiers, agriculteurs, guides, ils sont plus de 350 à lui faire remonter des informations sur la présence du jaguar. Un réseau que la garde forestière construit et entretient patiemment au fur et à mesure de ses visites sur le terrain.Samuel Peralta, 15 ans, est l’un de ses collaborateurs. Employé agricole, il veille sur les bêtes d’un propriétaire terrien, seul au milieu de la forêt. Quelques jours auparavant, il a repéré sur le sol une empreinte qui pourrait bien appartenir à un jaguar.À notre arrivée sur place, l’empreinte a été effacée par la pluie, mais elle était non loin d’un piège photographique que Lucero Corrales a installé quelques mois auparavant.Lucero détache un boitier couleur camouflage fixé sur un arbre à une trentaine de centimètres du sol pour récupérer la carte mémoire du piège photographique.Elle contient 85 photos qu’elle révisera plus tard, dans l’espoir de voir apparaître sur l’une d’entre elles le jaguar qui a laissé l’empreinte repérée par Samuel. Chaque fois que la présence d’un jaguar est vérifiée, Lucero note les coordonnées géographiques de la photo et l’envoie à l’équipe de chercheurs du Proyecto Yaguareté. Mais la collecte de données pour la recherche scientifique n’est qu’une partie du travail de Lucero Corrales. Le Proyecto Yaguareté est également un projet de conservation et de sensibilisation auprès des populations qui vivent au contact de l’animal.Si le contact avec la population est si important, c’est parce que la déforestation n’est pas la seule menace qui pèse sur le jaguar. Bien qu’interdite, la chasse reste la première cause de mortalité pour le félin. Fin juillet 2024, un jaguar a été abattu dans la province de Formosa et ses braconniers arrêtés.Dans le Chaco, ceux qui s’en prennent au ...
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  • L’accès à l’eau dans la capitale péruvienne : avant tout le combat des pauvres
    Jan 28 2025

    À Lima, au Pérou, 1 million et demi de personnes n'ont pas accès à l'eau courante… Leur seul moyen d'approvisionnement est le passage d'un camion citerne, à la venue aléatoire et dont la qualité de l'eau est critique... ; et critiquée. Et si les pouvoirs publics ne s'emparent pas rapidement du sujet, de plus en plus de Péruviens risquent d'être concernés. Selon une étude d'Aquafondo, le Pérou ne disposera, en effet, d'ici 40 ans, que de 60% de ses ressources actuelles en eau.

    «L’accès à l’eau dans la capitale péruvienne : avant tout le combat des pauvres», un Grand reportage de Marion Bellal.

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  • Mémoire de la Shoah: les jeunes se sentent-ils capables de la transmettre?
    Jan 27 2025
    C’était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l’armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l’extermination programmée, à l’échelle industrielle, des Juifs d’Europe par l’Allemagne Nazie. 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l’histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. De notre envoyé spécial à Auschwitz, C’est un marathon express en Pologne. Un aller-retour dans la journée et une visite de quelques heures pour se plonger dans un pan entier de l’histoire, concrétiser des mots, des récits et des images, étudiés en classe. Ces lycéens étudient au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint-Orens-de-Gameville, dans l’agglomération de Toulouse. Parmi eux, Malack, 17 ans. La lycéenne doit bien l’admettre, elle ne connaissait pas l’histoire de la Shoah. « C’est grâce au professeur que j’en ai entendu parler. On m’a parlé des Juifs, de leur extermination, mais ce n’était jamais détaillé, ce n’était pas approfondi comme aujourd’hui », déroule-t-elle.La trentaine d'élèves s’est levée très tôt et a embarqué dans un avion depuis Toulouse, jusqu’à Cracovie, la seconde ville de Pologne, située à 70 kilomètres d’Auschwitz-Birkenau. Avant d’entamer la visite, l’ambiance est plutôt détendue, ponctuée de quelques batailles de boules de neige à la descente du car. Plusieurs élèves, dont Yann, avouent regarder avec un certain éloignement l’histoire de la Shoah. « C’est dans les livres d’histoire, plante le jeune homme. On en entend parler, on voit quelques photos, mais venir ici c’est une vraie opportunité de découvrir l’histoire de l’Europe et de la Seconde Guerre mondiale. » Le mot « guerre » lui évoque davantage celle en Ukraine, à 200 kilomètres à vol d’oiseau. Loann dresse une analyse similaire : « La guerre au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine : Je me sens beaucoup plus proche de ces guerres aujourd’hui car on a des images, des vidéos, des reportages, sur ces guerres, et elles sont plus médiatisées qu’avant. Auparavant, on n'avait pas du tout conscience de ce qui se passait dans ces camps. »Bâtiments en ruinesEn ce mois de janvier 2025, 20 centimètres de neige recouvrent ce qu’il reste de Birkenau, le deuxième des trois camps d’Auschwitz, où débute la visite. Une grande partie des constructions en pierre sont détruites et Loann apparaît quelque peu déboussolé : « Le fait que les bâtiments soient en ruines, on a du mal à imaginer leur fonctionnement. Mais venir ici, ça permet de mettre en forme tout ce que l’on voit en cours. On comprend vraiment l’importance de ce camp dans la Seconde Guerre mondiale », insiste le lycéen.Une première visite permet de matérialiser les faits au-delà des mots de la guide qui accompagne les élèves : la visite d’un baraquement. En silence, les élèves arpentent la construction où s’entassaient et dormaient sur des planches en bois, les prisonniers du camp. « C’est à la fois triste et extrême, c’est angoissant, il y a une atmosphère pesante », commentent Anaïs et Mélanie. Malack, qui n’avait que très peu entendu parler de la Shoah, se plonge peu à peu dans le récit. « Je peux imaginer ces gens-là en train de vivre ces atrocités. J’arrive un peu à ressentir ce qu’ils ont dû ressentir à l’époque. » Le système concentrationnaire de Birkenau se concrétise aussi sous les yeux de Nina, 17 ans. « Déshumanisation », « humiliation » : peu à peu, la jeune lycéenne met des mots sur l’horreur et rapproche l’événement de sa propre histoire : « C’est vrai que ça me paraît un peu loin parce que ça date d’une époque où je n'étais pas née. D’un autre côté, c’est un combat qui me touche aussi car tout ce qui est racisme, antisémitisme, ce sont des choses que je peux encore vivre aujourd’hui. Je suis encore confrontée aux racistes. Et même si cette histoire est loin, ce sont des combats qui sont toujours actuels. »Des noms et des visages, la Shoah à hauteur d’hommes et de femmesLa Shoah se raconte aussi à hauteur d’hommes et de femmes. C’est le parti pris d’Auschwitz I, aujourd’hui musée et mémorial, que s’apprêtent à visiter les élèves. Et c’est aussi le choix réalisé par Mary Albagnac, l’enseignante d’histoire. Toute l’année, ces lycéens étudient les récits de déportés originaires de Toulouse et de ses environs et vont tenter de retrouver leurs traces dans les archives du musée. « En passant par la petite histoire, ça leur permet de mieux comprendre, on pense, la grande histoire, et aussi ...
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  • «Le supplément du dimanche» du 26 janvier 2025
    Jan 26 2025

    Dans le supplément de ce dimanche, Grand reportage week-end vous emmène aux États-Unis, au 6 janvier 2021, date de l'attaque du Capitole. Des partisans de Donald Trump avaient fait exploser leur colère face à la victoire de Joe Biden, en assiégeant le Capitole. Aujourd'hui, inversion de situation ! Donald Trump vient d'être investi 47è président des États-Unis, et a promis de gracier les partisans inculpés après cette attaque. En seconde partie, direction le Cap-Vert, dans ses fonds marins.

    Trump, le retour : attaque du Capitole : le grand pardon

    En ce 20 janvier 2025, Donald Trump redevient président des États-Unis. La superpuissance mondiale. Mais il y a 4 ans, le 6 janvier 2021, des milliers de ses partisans prenaient d’assaut le Capitole de Washington, le siège du pouvoir législatif, pour contester dans le sang, la victoire de Joe Biden à la présidentielle. Une journée inédite qui a sidéré l’Amérique et le monde. Aujourd'hui, l’histoire s’inverse.

    Donald Trump et ses partisans sont de retour au pied de ce même Capitole pour célébrer son investiture. Celui qui était devenu un paria, après le 6 janvier, revient plus puissant et populaire que jamais après sa nette victoire contre sa rivale démocrate, le 5 novembre. Dès son premier jour à la Maison Blanche, Donald Trump a promis de gracier ses partisans inculpés après cette attaque du Capitole de 2021.

    4ème volet de nos reportages sur le retour de Donald Trump au pouvoir. Le Grand Pardon, signé David Thomson et Guillaume Naudin.

    Un Grand reportage de David Thomson et Guillaume Naudin. Entretien avec Jacques Allix.

    À la recherche des trésors archéologiques sous-marins du Cap-Vert

    Dans les fonds marins, au large du Cap-Vert, archipel au carrefour des routes maritimes entre l’Europe, de l’Afrique et de l’Amérique, une partie du patrimoine historique est encore ensablé. Épaves de bateau avec ancre ou canon, objets de navigation ou du quotidien tombés de navires, à des époques entre le XVIè et le XVIIIè siècle.

    Quelques archéologues commencent depuis une dizaine d’années à s’intéresser à ces vestiges encore inexplorés, ils sont Mozambicain, Comorien, Erythréen ou Cap-verdien. Ils portent ainsi les balbutiements de l’archéologie sous-marine du continent africain. Nous sommes dans des eaux cristallines ; peu profondes, toutes proches de la côte.

    Un Grand reportage de Théa Ollivier qui s'entretient avec Jacques Allix.

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  • «Le supplément du samedi» du 25 janvier 2025
    Jan 25 2025

    Dans le supplément de ce samedi, direction le Mali où les relations avec la France sont tendues depuis plus de 4 ans avec l'arrivée au pouvoir de la junte militaire. Dans ce reportage. Quelles sont les conséquences de ces désaccords vis-à-vis de la communauté malienne qui vit en France ? En seconde partie, direction l'Australie, qui connaît une forte sécheresse. En conclusion, l'eau est devenue une précieuse ressource et un bien rare et surexploité.

    Tensions Bamako-Paris: espoirs et frustrations des Maliens de France

    Cela fait plus de quatre ans et demi que la junte militaire a pris le pouvoir au Mali. Depuis, les relations sont gelées entre Paris et Bamako. L'aide au développement coupée côté français. Et au Mali, tout projet associatif subventionné par la France est bloqué.

    Pour les quelque 500 000 membres de la diaspora malienne en France, il ne reste qu'une seule option : les transferts d'argent. Indispensables et incontournables, ces envois permettent d'aider les proches et de participer à distance au développement du pays. En 2023, le Mali a reçu plus d’un milliard de dollars grâce à ses expatriés. Et s’ils sont nombreux dans la diaspora à applaudir le désir de souveraineté affiché par la junte au pouvoir, cela étant perçu comme un gage de renouveau pour le Mali, d’autres laissent entrevoir leurs inquiétudes, leur crainte d’un isolement du pays.

    Un Grand reportage d'Alexis Bedu qui s'entretient avec Jacques Allix.

    En Australie, la guerre de l’eau a déjà commencé

    L’Australie, c’est le continent le plus aride du monde… C’est pourquoi une part significative de son agriculture se concentre autour de l’un des deux seuls bassins hydrographiques du continent, les rivières Murray-Darling et leurs multiples affluents, qui s’étendent sur plusieurs milliers de kilomètres… Mais il est de plus en plus difficile d’en vivre.

    La sécheresse a fait baisser drastiquement son niveau ces dernières années, elle est par ailleurs surexploitée, et polluée, en amont, par des producteurs de coton, plaçant les éleveurs, et les communautés indigènes situées en aval dans une situation de stress hydrique de plus en plus intenable…

    Nos reporters, Léo Roussel et Grégory Plesse, se sont rendus à Wilcannia, une petite ville majoritairement aborigène où l’eau en bouteille coûte plus cher que le diesel ainsi que dans la région de Menindee, aux confins de la Nouvelle-Galles-du-Sud.

    Un Grand reportage de Grégory Plesse et Léo Roussel. Entretien avec Jacques Allix.

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    49 mins
  • Festival Amani de Goma: quand la musique répond aux armes
    Jan 23 2025

    « Amani » signifie la paix en swahili. Amani, c’est aussi le nom du plus grand festival de musiques d’Afrique centrale. Un évènement qui se tient chaque année à Goma, le chef-lieu du nord Kivu en République Démocratique du Congo. Une ville devenue lieu de refuge pour les déplacés du conflit qui touche toute la zone.

    Après bien des péripéties, le festival de Goma a pu fêter ses dix ans en novembre dernier. L’occasion de plonger dans cette bouillante cité où la musique est une clef pour passer des messages, une échappatoire également quand la douleur est trop forte, comme le raconte la chanteuse Voldie Mapenzi.

    «Festival Amani de Goma: quand la musique répond aux armes», de Guillaume Thibault.

    Diaporama

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    20 mins
  • À la recherche des trésors archéologiques sous-marins du Cap-Vert
    Jan 22 2025

    Dans les fonds marins, au large du Cap-Vert, archipel au carrefour des routes maritimes entre l’Europe, de l’Afrique et de l’Amérique, une partie du patrimoine historique est encore ensablé. Épaves de bateau avec ancre ou canon, objets de navigation ou du quotidien tombés de navires, à des époques entre le XVIè et le XVIIIè siècle.

    Quelques archéologues commencent depuis une dizaine d’années à s’intéresser à ces vestiges encore inexplorés, ils sont Mozambicain, Comorien, Erythréen ou Cap-verdien. Ils portent ainsi les balbutiements de l’archéologie sous-marine du continent africain. Nous sommes dans des eaux cristallines ; peu profondes, toutes proches de la côte.

    «À la recherche des trésors archéologiques sous-marins du Cap-Vert», un Grand reportage de Théa Ollivier.

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    20 mins